Portrait de Pierre Scoendoerffer en couverture de " Les Chemins de la mémoire"

Portrait de Pierre Scoendoerffer en couverture de " Les Chemins de la mémoire"

Pierre Schoendoerffer, reporter de guerre en Indochine

Pierre Schoendoerffer, reporter de guerre en Indochine

La guerre d’Indochine

La guerre d’Indochine a duré sept ans (1946-1954), l’Indochine étant une colonie française, les Indochinois ont voulu se rebeller contre la l’union française pour avoir leur indépendance. Ce conflit fit plus de 500 000 victimes.

 Pendant celle-ci, la censure était très répandue. Le commandement militaire avait pour mission de protéger ses soldats en ne divulguant pas des renseignements trop précis qui pourraient informer l’ennemi.

De Lattre visait lui-même tous les textes envoyés en métropole. A partir de 1952, la prise de commandement du général Salan rendit les relations avec la presse plus difficiles. On instaura un passage obligatoire, pour les journalistes, par un officier-censeur. Le nombre de mots censurés était indiqué, ainsi que leur place initiale dans le texte. Deux règles dictaient la censure : ne pas divulguer de nouvelles militaires inconnues de l'ennemi et ne pas porter atteinte au moral de l'armée et de la nation. Néanmoins la France n’apportait très peu d’attention à cette guerre, mais beaucoup plus à la guerre d’Algérie.

Le journal "L'Humanité" censuré pendant la guerre d'Algérie

Le journal "L'Humanité" censuré pendant la guerre d'Algérie

La guerre d’Algérie

 

La guerre d’Algérie a duré huit ans (1954-1962) qui opposa la France coloniale face au FLN, Front de Libération Nationale qui voulait l’indépendance de l’Algérie.

Pendant ce conflit, la censure était présente quotidiennement. Entre 1954 et 1962 plusieurs articles interdits ont été publiés certains auteurs, plusieurs «saisies» ont été faites pendant le conflit dans certaines régions algériennes, grâce à plusieurs témoignages de journalistes qui ont assistés à ce conflit, nous pouvons voir la censure en Algérie pendant ces huit ans de conflits.

Pendant la guerre d’Algérie, les journalistes étaient omniprésents dans les zones à risques. Une correspondante de guerre du nom de Madeleine Riffaud qui est reporter pour le journal de l’Humanité a subi un attentat de la part de l’OAS (l’Organisation de l’Armée Secrète). Les journalistes prenaient beaucoup de risques.

 

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